Une des protéines constituant les filaments contractiles des cellules musculaires.

Hormone du stress produite en partie par la glande médullo-surrénale.

Toute cause (contrainte de l’environnement, agression externe) responsable d’un stress.

Structure cérébrale appartenant au système limbique, impliquée notamment dans les émotions, l’anxiété, etc.

forme principale d’énergie chimique de la cellule.

Interaction hormonale entre l’hypothalamus, l’hypophyse et la glande surrénale.

L’un des deux types de prolongement d’un neurone, unique et souvent de grande taille, conduisant le message nerveux depuis le corps cellulaire.

Classe de médicaments aux effets anxiolytiques et myorelaxants agissant sur les récepteurs au GABA et aidant à lutter contre le stress chronique.

Ensemble de réactions d’oxydo-réduction se déroulant dans la membrane interne de la mitochondrie et participant à la production d’ATP.

Genèse d’une force mécanique liée à une diminution de la longueur et augmentation de la largeur d’un muscle.

Partie d’un neurone contenant le noyau. Les prolongements, l’axone et les dendrites, émergent du corps cellulaire.

Partie superficielle de l’encéphale impliquée dans le contrôle de la motricité volontaire.

Zone du cerveau située à l’avant de la tête, interagissant avec le système limbique et impliquée dans les processus d’apprentissage.

Hormone sécrétée par la glande cortico-surrénale en cas de stress.

De l’anglais « corticotropin-releasing hormone », ou corticolibérine ; sécrétée par l’hypothalamus, elle agit sur l’hypophyse et induit la sécrétion d’une autre hormone.

Ensemble de réactions se déroulant dans la matrice de la mitochondrie et permettant la production de composés réduits, d’ATP et de CO2 par dégradation complète de l’acide pyruvique.

Tension électrique existant de part et d’autre de la membrane plasmique de toutes les cellules.

L’un des deux types de prolongement d’un neurone, souvent arborescent, conduisant le message nerveux vers le corps cellulaire.

Partie du système nerveux central comprenant le cerveau, le cervelet et le tronc cérébral.

Qualifie une molécule qui n’est pas synthétisée par l’organisme.

Dégradation incomplète, en conditions anaérobies, de l’acide pyruvique s’accompagnant de la production d’acide lactique.

De l’anglais « gamma-aminobutyric acid », principal neurotransmetteur inhibiteur du système nerveux des mammifères.

Hormone produite par le pancréas provoquant une hyperglycémie.

Concentration sanguine de glucose voisine de 1 g.L-1chez un individu en bonne santé.

Molécule de réserve des tissus animaux, composée d’une succession de molécules de glucose.

Dégradation dans le cytoplasme du glucose en acide pyruvique s’accompagnant de la production de NADH, H+ et d’ATP.

Structure cérébrale appartenant au système limbique, impliquée notamment dans l’apprentissage, la mémoire à long terme, etc.

Qualifie une hormone transportée par le sang, agissant sur différents organes cibles, et permettant une augmentation de la glycémie.

Qualifie une hormone transportée par le sang, agissant sur différents organes cibles, et permettant une diminution de la glycémie.

Ensemble de cellules sécrétrices d’hormones pancréatiques.

Hormone produite par le pancréas provoquant une hypoglycémie.

qualifie le diabète caractérisé par une augmentation de la glycémie et due à l’absence de sécrétion d’insuline par le pancréas.

Organe constitué d’un ensemble de cellules contractiles spécialisées dans la conversion de l’énergie chimique en énergie mécanique, à l’origine d’une force.

Protéine motrice, capable d’hydrolyser l’ATP, et constituant avec l’actine les filaments contractiles des cellules musculaires.

Cellule souvent allongée capable de recevoir, conduire et transmettre un message nerveux.

Molécule qui permet la transmission de l’information nerveuse, sous forme chimique, au niveau d’une synapse.

qualifie le diabète caractérisé par une augmentation de la glycémie sans anomalie de sécrétion d’insuline.

Qualifie la partie du pancréas spécialisée dans la production des hormones insuline et glucagon.

Capacité du cerveau à remodeler ses connexions et son fonctionnement en réponse à l’environnement et aux expériences vécues par l’individu.

Variation transitoire et stéréotypée en amplitude et en durée de la ddp transmembranaire d’une cellule excitable.

Qualifie un produit dangereux pour la santé et illégal augmentant les capacités physiques d’un organisme.

Molécule de la surface membranaire des cellules. L’interaction spécifique entre un récepteur et une molécule permet de déclencher une réponse de la cellule.

Réponse involontaire, immédiate et stéréotypée à une stimulation.

Qualifie le réflexe qui consiste en la contraction d’un muscle en réponse à son étirement.

Capacité d’un organisme (ou d’un écosystème) à retrouver un fonctionnement normal après une perturbation.

Capacité d’une hormone à exercer un contrôle sur sa propre sécrétion, il peut être positif ou négatif.

Somme algébrique des variations locales de la ddp transmembranaire d’un neurone lors de l’activité de plusieurs synapses (S. spatiale) et à plusieurs moments rapprochés (S. temporelle).

Ensemble des réponses immédiates de l’organisme face à un ou plusieurs agents agresseurs.

Dérèglement durable du système de régulation du stress aigu.

Glande située au-dessus de chaque rein ; elle se divise en deux parties : cortico- et médullo-surrénale.

Structure de communication chimique entre deux neurones ou un neurone et une fibre musculaire.

Zone de contact entre un neurone et une cellule musculaire.

Synapse entre deux neurones.

Système dans lequel une variable régulée (glycémie) est comparée à une valeur consigne (1 g.L-1) et y est ramenée par un système réglant (hormones pancréatiques).

Ensemble de structures cérébrales impliquées dans les émotions, la mémoire, la perception de l’environnement, etc.