3B - Neurone et fibre musculaire : la communication nerveuse.
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neuromédiateur de la synapse chimique. |
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3 | capacité de réorganisation de certaines structures nerveuses et de leur fonctionnement en fonction des expériences vécues par l'individu. L'apprentissage moteur (= acquisition d'une nouvelle performance motrice) provoque un développement des zones fortement sollicités du cortex moteur. Par exemple, un pianiste qui sollicite beaucoup ses mains présente des zones corticales très étendues pour les muscles de la main. Ces modifications des cartes motrices mettent ainsi en évidence une propriété fondamentale du cortex : la plasticité cérébrale (1°S) c'est-à-dire sa capacité à se modifier en réponse à une stimulation environnementale. NOTION : La comparaison des cartes motrices de plusieurs individus montre des différences importantes. Loin d'être innées, ces différences s'acquièrent au cours du développement, de l'apprentissage des gestes et de l'entraînement. |
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1 | long prolongement du neurone qui conduit le message nerveux électrique du corps cellulaire vers les boutons synaptiques (synonyme : fibre nerveuse). | |||||
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1 | manière de marquer la correspondance entre l'intensité du stimulus et l'importance du message :
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1 | partie du neurone contenant le noyau de la cellule et recevant les informations (sur sa membrane plasmique ou sur ses fins prolongements ramifiés = dendrites). | |||||
2 | substance grise périphérique des hémisphères cérébraux composée de nombreuses zones appelées aires cérébrales motrices ou sensitives (ex : aires corticales visuelles vues en 1° ; aire motrice) NOTION : L'exploration du cortex cérébral permet de découvrir les aires motrices spécialisées à l'origine des mouvements volontaires. |
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1 | fin prolongement ramifié du corps cellulaire d'un neurone, recevant l'information d'un autre neurone ou détectant le stimulus. Les neurones sensitifs en T du réflexe myotatique ont un dendrite particulièrement développé. |
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1 | muscle (ensemble de fibres musculaires) qui répond au message reçu du motoneurone par une contraction. | |||||
1 | processus de sortie du contenu d'une vésicule par accolement à la membrane plasmique. Se traduit dans le système nerveux par la libération d'une dose de neuromédiateur dans la fente synaptique. | |||||
1 | espace entre deux neurones ou entre un neurone et une fibre musculaire, infranchissable par un message nerveux (électrique) et donc à transmission chimique par neuromédiateur. | |||||
1 | cellule allongée composant le muscle, effecteur dans le réflexe myotatique (= contraction du muscle suite à son étirement) | |||||
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2 | cellule nerveuse conduisant le message efférent de la moelle épinière à l'effecteur (fibre musculaire). | |||||
1 | molécule permettant le transfert du message nerveux du neurone présynaptique à l'élément postsynaptique (fibre musculaire ou neurone) et donc de franchir la fente synaptique. | |||||
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1 | cellule nerveuse chargée de détecter les stimulus et de générer un message nerveux afférent conduit à la moelle épinière. Sa forme en T est particulière avec un très long dendrite du récepteur musculaire au ganglion rachidien où de situe le corps cellulaire. L'axone relie le ganglion à la substance grise de la moelle épinière. |
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3 | voir 1°S | |||||
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1 | différence de potentiel enregistré au niveau d'un muscle stimulé (étiré). Il ne répond pas à la loi du tout ou rien mais réalise la sommation des messages moteurs. |
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1 | molécule de la membrane d'un neurone ou d'une fibre musculaire auquel se fixe un neuromédiateur comme l'acéthylcholine, provoquant alors l'entrée ou la sortie d'ions à l'origine d'une dépolarisation ou hyperpolarisation membranaire (PPS). | |||||
1 | variation d'un paramètre physico-chimique du milieu extérieur ou intérieur susceptible d'être détecté par un récepteur sensoriel spécialisé. Dans le réflexe myotatique, c'est l'étirement du muscle qui constitue le stimulus responsable de sa contraction (réaction réflexe de protection de l'organisme). | |||||
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