1B - Le domaine continental et sa dynamique.
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accrétion continentale | 3 | Processus d'accroissement des continents par lequel des fragments de croûte se rattachent aux continents suite aux déplacements et aux collisions de plaques (modifiée d'après Grotzinger et coll., 2007). des images sur l'Université d'Ottawa. |
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ensemble des phénomènes liés à la formation et à la cristallisation des magmas. |
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NOTION : Les chaînes de montagnes anciennes ont des reliefs moins élevés que les plus récentes. |
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4 | Ensemble des mécanismes physico-chimiques qui transforment les roches en particules et libérent les ions constitutifs des roches : => altération physique : alternance gel/dégel, action des racines ; => altération chimique : action de l'eau (hydrolyse), en surface. Processus qui précède l'érosion. NOTION : Altération et érosion contribuent à l'effacement des reliefs. |
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1 | voir site 1° NOTION : La lithosphère est en équilibre (isostasie) sur l'asthénosphère. |
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Auréole | dans une roche métamorphique, preuve d'une transformation incomplète de la roche initiale. Le minéral relique est au centre, une "bande" plus ou moins régulière d'un nouveau minéral se forme aux "dépens" des 2 minéraux réactants (celui du centre et celui qui est autour).
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basalte (1°S) | 1 | voir site 1° | ||||||
voir site 1° |
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ensemble de reliefs allongés, beaucoup plus longs que large, s'étendant sur quelques centaines à quelques milliers de km. |
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voir nappes de charriage. |
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2 | affrontement de deux plaques lithosphériques convergentes après disparition de la croûte océanique qui les séparait. La collision produit d'importantes déformations tectoniques (plis, failles inverses...), notamment des chaînes de montagnes par accrétion continentale. |
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voir site 1° |
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voir site 1° |
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crustal (1°S) | 1 | voir site 1° | ||||||
1 | voir site 1° |
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qui peut s'étirer sans se rompre (contraire de cassant). |
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roche métamorphique présentant des cristaux de grenat rose et de pyroxène vert (jadéite). Elle est preuve de conditions de pression très importantes, témoins d'une subduction profonde (base de la lithosphère plongeante). On retrouve de petits fragments dans les Alpes, dans le Viso notamment (ophiolite).
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érosion | 4 | (du latin erodere, ronger) regroupe l'ensemble des processus de démantèlement qui aboutit à l'applanissement du relief. Les facteurs d'érosion sont : le climat, la pente, les propriétés physico-chimiques des roches (dont dépend aussi l'altération qui précède souvent), la couverture végétale (son abondance, sa nature) et l'action de l'homme (pratiques agricoles, urbanisation...) NOTION : Altération et érosion contribuent à l'effacement des reliefs. |
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association déterminée de minéraux caractéristiques de conditions de pression et/ou de température qui régnaient lors de la formation de la roche. Ex : faciès schistes bleus caratéristiques d'une zone haute pression et basse température (témoignant d'une subduction). Voir auréole. |
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1 |
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fracture de terrain (faille) témoignant d'une compression. On les trouve dans les chaînes de montagnes, témoins de la collision. Il y a chevauchement du compartiment situé au dessus du plan de faille sur l'autre compartiment.
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voir site 1° |
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voir site 1° |
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1 | passage de l'état solide à l'état solide + liquide de la péridotite asthénosphérique provoquant la genèse de magmas. Elle est favorisée dans les zones de subduction par la présence d'eau libérée par le métamorphisme de la croûte océanique plongeante (abaissement de la température de fusion). NOTION : L'épaisseur de la croûte résulte d'un épaississement lié à un raccourcissement et un empilement. On en trouve des indices tectoniques (plis, failles, nappes) et des indices pétrographiques (métamorphisme, traces de fusion partielle). |
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voir site 1°S | ||||||||
ligne d'égale température en profondeur du globe. Les géothermes s'enfoncent dans les zones de subduction (la plaque plongeante n'a pas le « temps » de se réchauffer) et les températures sont inférieures à ce qu'elles devraient être à cette profondeur. Voir flux de chaleur . |
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géodésie | 1 | étude de la forme générale de la Teere, de son champ de pesanteur (gravimétrie) et des causes qui le déterminent. La masse supplémentaire en surface est compensée en profondeur par un déficit de masse (voir isostasie). | ||||||
1 | voir site 1°S NOTION : La croûte continentale, principalement formée de roches voisines du granite, est d'une épaisseur plus grande et d'une densité plus faible que la croûte océanique. |
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3 | roche magmatique plutonique proche du granite qui se forme dans la plaque chevauchante au cours de la subduction. |
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isostasie | 1 |
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voir site 1°S CAPACITE EXPERIMENTALE : Repérer à différentes échelles, de l'échantillon macroscopique de roche à la lame mince, des minéraux témoignant de transformations liées à la subduction. |
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1 | voir site 1°S
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magma | voir site 1°S | |||||||
2 | zone de transition intraplaque comprenant, en s'éloignant du rivage, un plateau continental, un talus, un glacis. On peut retrouver des témoignages de l'ouverture océanique (rifting) sous forme de failles normales et blocs basculés. NOTION : Les chaînes de montagnes présentent souvent les traces d'un domaine océanique disparu (ophiolites) et d'anciennes marges continentales passives. |
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1 | ensemble des transformations minéralogiques et géométriques que subit une roche quand elle est portée dans des conditions qui sont différentes de celles qui ont présidé à sa genèse. Ces transformations se réalisent à l'état solide. (LARDEAUX) NOTION : L'épaisseur de la croûte résulte d'un épaississement lié à un raccourcissement et un empilement. On en trouve des indices tectoniques (plis, failles, nappes) et des indices pétrographiques (métamorphisme, traces de fusion partielle). |
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1 | ensemble de terrains déplacés par-dessus d'autres terrains à la suite de mouvements tectoniques compressifs, suite à la formation de failles inverses. Elles témoignent de phénomènes de convergence associés à la collision, 3° étape de la formation d'une chaîne de montagnes. Attention, le principe de superposition ne peut être utilisé dans ce cas. Voir illustration à chevauchement. NOTION : L'épaisseur de la croûte résulte d'un épaississement lié à un raccourcissement et un empilement. On en trouve des indices tectoniques (plis, failles, nappes) et des indices pétrographiques (métamorphisme, traces de fusion partielle). |
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2 | cortège de roches magmatiques caractéristique des chaînes de montagnes, considéré comme représentant les vestiges de la lithosphère océanique : péridotites foliées, gabbros, basaltes en coussins (porté en altitude par l'obduction : hors programme). voir illustration à lithosphère NOTION : Les chaînes de montagnes présentent souvent les traces d'un domaine océanique disparu (ophiolites) et d'anciennes marges continentales passives. |
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1 | voir site 1°S |
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voir site 1°S |
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portion de lithosphère (continentale ou océanique) sous laquelle plonge un plaque océanique subduite. |
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1 | déformation résultant de la flexion ou de la torsion de roches ductiles. Un anticlinal est un pli convexe vers le haut, un synclinal est un pli dont la concavité est tournée vers le haut.
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méthodes de datation consistant à établir l'âge exact d'une roche (magmatique ou métamorphique) par rapport au présent par des mesures de décroissance radioactive de certains isotopes. | |||||||
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couple d'isotopes permettant de dater des roches anciennes en mesurant les rapports isotopiques de plusieurs minéraux de la même roche ayant cristallisé au même moment (les quantités initiales des éléments et le moment de la fermeture du système étant inconnus). | |||||||
faciès métamorphique de pression assez forte caractérisé par un minéral bleu nuit : le glaucophane et caractéristique des zones de subduction.
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4 | ensemble des processus conduisant à la formation de sédiments dans un bassin sédimentaire (océan, mer, fleuve, lac...). Les matériaux des sédiments peuvent provenir de l'érosion de roches antérieures ou résulter d'une activité organique (accumulation de coquilles...). Après un dépôt, un sédiment subit une diagénèse et devient une roche sédimentaire. NOTION : Les produits de démantèlement sont transportés sous forme solide ou soluble, le plus souvent par l'eau, jusqu'en des lieux plus ou moins éloignés où ils se déposent (sédimentation). |
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2 | Phénomène caractéristique des zones de convergence où la lithosphère océanique s'enfonce sous la marge active d'une plaque comprenant : Il y a formation d'un plan de Bénioff matérialisant le plongement de la plaque par la répartition des foyers sismiques, d'un volcanisme actif, d'une fosse océanique. |
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2 | enfoncement crustal lié au refroidissement de la lithosphère après l'extension. |